L’état d’urgence, décrété le 24 novembre 2015, a été une nouvelle fois prolongé jusqu’au 17 juin 2017 sur l’ensemble du territoire tunisien.
Le Quai d'Orsay appelle les ressortissants français, présents dans le pays, à "respecter les conseils habituels de vigilance". Il conseille entre autres de "rester à l’écart des rassemblements et mouvements de foule et de se tenir éloigné des bâtiments sensibles et des axes de manifestations éventuelles. Les déplacements de nuit hors des grands axes routiers sont à éviter. Il convient d’une manière générale de préparer soigneusement son itinéraire et de faire preuve de prudence".
En outre, les déplacements sont formellement déconseillés dans la zone désertique au sud de la ligne Bir Rijm Maatoug - Borj Bourguiba - Ben Guardane, dans les secteurs très proches des frontières avec la Libye et avec l’Algérie, ainsi que dans la zone frontalière tuniso-algérienne du Centre Ouest. Il est également déconseillé, sauf raison impérative, de se rendre dans la zone montagneuse du Nord-Ouest. S’agissant de la région saharienne, correspondant à une zone militaire instaurée au mois d’août 2013 par les autorités tunisiennes, les déplacements sont, en tout état de cause, soumis à une autorisation préalable.
En outre, les déplacements sont formellement déconseillés dans la zone désertique au sud de la ligne Bir Rijm Maatoug - Borj Bourguiba - Ben Guardane, dans les secteurs très proches des frontières avec la Libye et avec l’Algérie, ainsi que dans la zone frontalière tuniso-algérienne du Centre Ouest. Il est également déconseillé, sauf raison impérative, de se rendre dans la zone montagneuse du Nord-Ouest. S’agissant de la région saharienne, correspondant à une zone militaire instaurée au mois d’août 2013 par les autorités tunisiennes, les déplacements sont, en tout état de cause, soumis à une autorisation préalable.