Elles sont restées discrètes pendant la grève, même si depuis quelques heures elles font entendre leur voix dans le concert des compagnies régulières. Les low cost demandent à l'Europe de justifier les mesures de blocage du ciel et d'expliquer les raisons techniques qui ont conduit à cette décision.
Avec environ 6 millions d'euros perdus par jour, Ryanair reconnaît qu'il faudra quelques mois d'exploitation pour compenser cette perte même si la compagnie affirme que cela ne pose pas de problèmes à ce jour. De son côté Easyjet affirme que la crise va lui coûter près de 45 millions d'euros et pèsera sur les développements prévus pour 2010.
A ce jour, la plupart des compagnies européennes à bas coût reconnaissent que cette crise, majeure pour elles, aura des conséquences sur leurs investissements aériens. Plusieurs d'entre elles ont déjà fait part de leur intention de ne pas confirmer les options d'achat de nouveaux appareils.
A ce jour, la plupart des compagnies européennes à bas coût reconnaissent que cette crise, majeure pour elles, aura des conséquences sur leurs investissements aériens. Plusieurs d'entre elles ont déjà fait part de leur intention de ne pas confirmer les options d'achat de nouveaux appareils.
