Le site internet de vente en ligne de vêtements féminins Hey Joon poursuit Air France pour avoir nommé sa filiale Joon. L'entreprise d'e-commerce estime qu'il y a un risque de confusion entre les deux marques.
Les pilotes du syndicat SPAF ne sont pas les seuls à avoir un problème avec le nom de Joon. Le site de vente en ligne de vêtements féminins Hey Joon a entamé des poursuites contre Air France pour avoir baptisé sa nouvelle compagnie avec un nom très similaire au sien.
Selon Le Parisien, la directrice de l'entreprise d'e-commerce estime qu'il y a un risque de confusion entre les deux marques. Ses avocats expliquent : "Notre cliente vend des vêtements tandis que la compagnie d'Air France a prévu de proposer à ses passagers des tours de shopping dans de grands magasins parisiens. C'est d'autant plus choquant qu'Air France a choisi ce nom en toute connaissance de cause".
La plaignante réclame une astreinte de 1 500 euros chaque fois que le groupe aérien utilisera le nom Joon et 30 000 euros à titre de provision sur dommages et intérêts.
Air France ne semble pas effrayée par l'affaire. Son porte-parole a répondu au quotidien : "Les deux noms sont utilisés pour des secteurs d'activité totalement différents, il n'y a aucun risque de confusion". La justice devrait se pencher sur le dossier mi-janvier.
Selon Le Parisien, la directrice de l'entreprise d'e-commerce estime qu'il y a un risque de confusion entre les deux marques. Ses avocats expliquent : "Notre cliente vend des vêtements tandis que la compagnie d'Air France a prévu de proposer à ses passagers des tours de shopping dans de grands magasins parisiens. C'est d'autant plus choquant qu'Air France a choisi ce nom en toute connaissance de cause".
La plaignante réclame une astreinte de 1 500 euros chaque fois que le groupe aérien utilisera le nom Joon et 30 000 euros à titre de provision sur dommages et intérêts.
Air France ne semble pas effrayée par l'affaire. Son porte-parole a répondu au quotidien : "Les deux noms sont utilisés pour des secteurs d'activité totalement différents, il n'y a aucun risque de confusion". La justice devrait se pencher sur le dossier mi-janvier.
