La compagnie québecoise opèrera l’été prochain des vols directs sur Montréal au départ de huit villes françaises. Certains d’entre eux seront opérés en A321neoLR.
Air Transat reprend de l’altitude… seule après l’échec du projet de rapprochement avec Air Canada, lié pour partie aux réticences des autorités de la concurrence européennes. La compagnie québecoise assure cet hiver un service quotidien entre Paris et Montréal. En collaboration avec TGV InOui, elle maintient par ailleurs son service Train + Air qui combine un voyage en TGV au départ de 18 villes en France et de Bruxelles vers Paris avec le vol à destination du Canada.
C’est surtout l’été prochain qu’Air Transat opèrera de nouveau un programme proche de celui assuré avant la pandémie. Depuis Paris, elle assurera deux vols par jour sur Montréal, trois par semaine sur Québec et quatre sur Toronto. Et elle volera sur Montréal depuis sept villes de province, Marseille (5 vols par semaine), Bordeaux, Toulouse et Lyon (4), Nantes (3), Nice (2) et Bâle-Mulhouse (1). A Montréal, des correspondances seront proposées vers Calgary, Québec, Toronto et Vancouver. « Nous reconstruisons activement notre réseau historique, grâce à une flotte moderne et polyvalente qui nous permet de répondre à l’augmentation de la demande attendue en 2022», explique Cyril Cousin, de retour depuis quelques semaines chez Air Transat, en tant que directeur France, Benelux, Suisse et Allemagne.
Air Transat poursuit en effet la transformation de sa flotte grâce à la livraison de trois nouveaux A321neoLR, portant à dix le nombre total de ces appareils ayant intégrés ses rangs ; sept appareils additionnels sont attendus progressivement d’ici 2023. Ces avions de nouvelle génération opèrent en alternance sur le Transatlantique avec ses A330.
