Pas de salaire en décembre pour les 71 plus hauts cadres de la compagnie aérienne Japan Ailines, soumis au régime sec en raison d’énormes difficultés financières. Les primes d’hiver pourraient également être supprimées pour 17 000 salariésd. La compagnie a également décidé de couper clairement dans ses destinations en supprimant huit liaisons internationales et autant […]
Pas de salaire en décembre pour les 71 plus hauts cadres de la compagnie aérienne Japan Ailines, soumis au régime sec en raison d'énormes difficultés financières. Les primes d'hiver pourraient également être supprimées pour 17 000 salariésd. La compagnie a également décidé de couper clairement dans ses destinations en supprimant huit liaisons internationales et autant de liaisons domestiques, en attendant une plus sévère restructuration programmée. Les fréquences de vols seront en outre réduites sur deux lignes extérieures, et une liaison cargo sera également suspendue.
JAL suspend notamment à partir de décembre 2009 ou janvier 2010 des vols au départ d'Osaka (ouest) ou Tokyo vers des destinations asiatiques (villes provinciales de Chine notamment). A l'intérieur, ces suppressions de vols touchent essentiellement des liaisons interrégionales considérées comme non rentables.
Selon une ébauche de plan, JAL devrait au total dans les prochains mois cesser d'exploiter 45 lignes, supprimer 9000 postes, céder des actifs non vitaux et bénéficier d'un apport de fonds pour tenter de recouvrer une rentabilité ruinée par la crise et les précédentes turbulences qui ont affecté le secteur.
La compagnie est actuellement quasiment sous tutelle de l'état.
JAL suspend notamment à partir de décembre 2009 ou janvier 2010 des vols au départ d'Osaka (ouest) ou Tokyo vers des destinations asiatiques (villes provinciales de Chine notamment). A l'intérieur, ces suppressions de vols touchent essentiellement des liaisons interrégionales considérées comme non rentables.
Selon une ébauche de plan, JAL devrait au total dans les prochains mois cesser d'exploiter 45 lignes, supprimer 9000 postes, céder des actifs non vitaux et bénéficier d'un apport de fonds pour tenter de recouvrer une rentabilité ruinée par la crise et les précédentes turbulences qui ont affecté le secteur.
La compagnie est actuellement quasiment sous tutelle de l'état.
