70 % des passagers sont favorables à une totale automatisation des contrôles sécuritaires, selon la dernière étude SITA, qui confirme que des systèmes comme « parafe », en cours d’implantation aux aéroports parisiens, séduisent les grands voyageurs.
Selon SITA, l'automatisation ne fait plus peur aux passagers et le chiffre, de 12 points supérieur à celui de l’an dernier, où seuls 58 % des voyageurs se disaient « tentés par cette automatisation » révèle une meilleure maitrise du transport aérien et une forte lassitude des délais d’attente aux contrôles bagages et passeports. Si l’époque est au self-service (74 % des 2500 voyageurs interrogés ont acheté leur billet sur le net), force est de constater que l’utilisation des bornes d’aéroport devient également des lieux très fréquentés : 71 % avouent les utiliser. En revanche l’enregistrement sur téléphone portable ne sensibilise toujours pas : à peine 3% l’utilisent même si 58 % trouvent l’idée intéressante.
Autre indication de cette étude sur le sujet à la mode du CO2. Selon leur provenance, les touristes se sentent plus ou moins sensibilisés à la protection de la planète : 44 % de ceux en provenance de Mumbai , 35 % de Beijing (35%) et 27 % d'Atlanta affirment qu’ils compensent leur empreinte carbone sur le site Internet des compagnies aériennes utilisées, contre seulement 6 % à Francfort. Un chiffre plus qu’étonnant à la lecture des résultats financiers des grandes associations spécialisées qui confirment que l’Europe et les États Unis restent « financièrement les plus sensibilisés à la question de la compensation financière ».
Autre indication de cette étude sur le sujet à la mode du CO2. Selon leur provenance, les touristes se sentent plus ou moins sensibilisés à la protection de la planète : 44 % de ceux en provenance de Mumbai , 35 % de Beijing (35%) et 27 % d'Atlanta affirment qu’ils compensent leur empreinte carbone sur le site Internet des compagnies aériennes utilisées, contre seulement 6 % à Francfort. Un chiffre plus qu’étonnant à la lecture des résultats financiers des grandes associations spécialisées qui confirment que l’Europe et les États Unis restent « financièrement les plus sensibilisés à la question de la compensation financière ».
