Les voyageurs d'affaires le reconnaîtront facilement: passer les contrôles de sécurité des aéroports est fastidieux. Un employé de la plate-forme de Saint-Petersbourg a tout simplement craqué : il s'est complètement déshabillé lorsque les agents n'ont pas voulu le laisser passer avec sa ceinture.
Georgy Myakinkin travaille au département informatique de l'aéroport de Saint-Pétersbourg. Alors qu'il venait de finir son service, il s'est rendu compte qu'il avait oublié ses clés sur la plate-forme. Il a alors fait demi-tour pour les récupérer. Il explique au site news.com.au «Je suis retourné à l'aéroport. J'étais seulement dans la zone où les trains arrivent avec les passagers quand j'ai été arrêté et qu'il m'a été demandé de retirer ma ceinture avant de passer dans le scanner. Je connais les règles et je sais qu'il n'est pas nécessaire ici , dans cette zone de pré-vol , d'être aussi strict. Les agents étaient juste lourds». Comme il refusait de se plier à sa demande, la sécurité a appelé la police. L'homme de 31 ans en colère a alors enlevé tous ses vêtements et est passé sous le portique complètement nu. Aucun agent de sécurité ni policier n'a réagi pendant qu'il faisait son strip-tease. Il a ainsi pu passer la sécurité, se rhabiller et chercher ses clés sans souci.
Mais le lendemain à son retour, le Russe a découvert que la vidéo de sécurité avait été mise en ligne sur le net. L'employé a alors décidé de porter plainte contre la police pour cette fuite: «Je sais qu'il ont fait cela pour m’embarrasser mais j'aurai le dernier mot». La porte-parole du département des Transports du ministère de l'Intérieur du district fédéral du Nord-Ouest a indiqué qu'une enquête avait été ouverte sur cette faille de sécurité.
Mais le lendemain à son retour, le Russe a découvert que la vidéo de sécurité avait été mise en ligne sur le net. L'employé a alors décidé de porter plainte contre la police pour cette fuite: «Je sais qu'il ont fait cela pour m’embarrasser mais j'aurai le dernier mot». La porte-parole du département des Transports du ministère de l'Intérieur du district fédéral du Nord-Ouest a indiqué qu'une enquête avait été ouverte sur cette faille de sécurité.
