Lors de la conférence « ACTE Global Education » qui a lieu ce début de semaine à Paris, l’association ACTE et KDS dévoileront les résultats de leur étude annuelle sur les tendances de l’industrie du voyage. Cette sixième enquête souligne à nouveau les problématiques de réduction des coûts et de l’engagement lent mais progressif en terme de Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE). Cependant, en 2011, les événements de l’actualité mondiale (bouleversements climatiques, conflits) ainsi que le développement de nouvelles applications (mobile, médias sociaux) ouvrent un nouveau chapitre dans une industrie très sensible à son environnement.
L’analyse des pratiques et du ressenti de professionnels de l’industrie effectuée par ACTE et KDS, présentée à Paris lors de la conférence ACTE Global Education, a permis de mettre en avant les éléments suivants sur les tendances du voyage d'affaires cette année :
- Les effets toujours nombreux de la crise entraînent encore des réductions des voyages d’affaires dans un souci de contrôle des coûts.
- La RSE reste une préoccupation. Elle a encore de nombreuses marges de manœuvre en termes de développement et d’implication de la part des entreprises. Elles sont d’ailleurs sévèrement jugées par les participants à l’étude qui sont 44,5% à estimer que leur organisation pourrait être plus active en la matière.
- Les événements tels que les catastrophes naturelles ou les conflits armés devenant une préoccupation de plus en plus importante : 45% des répondants ont du annuler ou décaler un voyage en raison du tremblement de terre au Japon.
- Le développement des applications mobiles et l’utilisation des médias sociaux, apparaissent comme de nouvelles tendances dont l’influence sur l’industrie semble croître fortement. En effet, pour 78% des répondants, ces nouveaux outils auront un impact sur les politiques voyages.
- Un gap culturel entre France et USA : si les répondants français sont 43,6% à accepter l’idée d’une responsabilité individuelle concernant les émissions de CO2 lors de voyages d’affaires, ils ne sont que 23,1% aux USA.
- Les effets toujours nombreux de la crise entraînent encore des réductions des voyages d’affaires dans un souci de contrôle des coûts.
- La RSE reste une préoccupation. Elle a encore de nombreuses marges de manœuvre en termes de développement et d’implication de la part des entreprises. Elles sont d’ailleurs sévèrement jugées par les participants à l’étude qui sont 44,5% à estimer que leur organisation pourrait être plus active en la matière.
- Les événements tels que les catastrophes naturelles ou les conflits armés devenant une préoccupation de plus en plus importante : 45% des répondants ont du annuler ou décaler un voyage en raison du tremblement de terre au Japon.
- Le développement des applications mobiles et l’utilisation des médias sociaux, apparaissent comme de nouvelles tendances dont l’influence sur l’industrie semble croître fortement. En effet, pour 78% des répondants, ces nouveaux outils auront un impact sur les politiques voyages.
- Un gap culturel entre France et USA : si les répondants français sont 43,6% à accepter l’idée d’une responsabilité individuelle concernant les émissions de CO2 lors de voyages d’affaires, ils ne sont que 23,1% aux USA.
