Le choix est-il définitif ou pas ? Augustin de Romanet aurait fait savoir par courrier à Air France que le futur terminal 4 de Roissy serait du type "space invader" et non satellitaire. Malgré les remarques et critiques formulées par toutes les compagnies aériennes.
Un "Space Invader" est une forme de jetée composée de deux éléments en cul de sac plutôt contraignante pour les utilisateurs, puisqu'elle oblige à pratiquer des "push-backs" et des demi-tours pour en ressortir les avions. La facture environnementale en est mécaniquement désastreuse. Selon nos informations, ce serait pourtant le choix fait par le patron des Aéroports de Paris pour son terminal 4, malgré les critiques formulées par les compagnies et en particulier Air France, qui en sera le premier utilisateur. Le terminal - sans doute temporaire - devrait être opérationnel à la veille des JO de 2024.
Avec le terminal 4, la capacité des aérogares de Roissy atteindra 120 millions de passagers avec un objectif majeur : faciliter l’embarquement et la gestion des flux d’arrivée.
Pourtant, les compagnies présentes sur ADP avaient clairement manifesté leur préférence pour un modèle satellitaire, jugé plus facile à exploiter et mieux adapté au monde de l’aérien.
Officiellement, ADP ne communique pas sur le sujet. Reste à savoir ce qu’en pensera Ben Smith, le nouveau DG du groupe franco hollandais.
Avec le terminal 4, la capacité des aérogares de Roissy atteindra 120 millions de passagers avec un objectif majeur : faciliter l’embarquement et la gestion des flux d’arrivée.
Pourtant, les compagnies présentes sur ADP avaient clairement manifesté leur préférence pour un modèle satellitaire, jugé plus facile à exploiter et mieux adapté au monde de l’aérien.
Officiellement, ADP ne communique pas sur le sujet. Reste à savoir ce qu’en pensera Ben Smith, le nouveau DG du groupe franco hollandais.