Le mouvement des contrôleurs aériens, organisé par l’union nationale des syndicats autonomes - ingénieurs du contrôle de la navigation aérienne (UNSA/ICNA), va se poursuivre ce 25 juin. La DGAC a donc une nouvelle fois demandé aux compagnies aériennes de réduire leur programme de vols.
La direction générale de l’aviation civile (DGAC) a demandé aux transporteurs de réduire leur programme de vols du mercredi 25 juin de :
- 20 % sur les aéroports de Lyon, Marseille, Toulouse et Bordeaux ;
- 20 % des vols vers le sud de la France, l’Espagne, le Portugal, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie au départ de la région parisienne.
La DGAC précise ainsi que «des perturbations sont possibles sur l’ensemble du territoire». Elle invite également les passagers à se rapprocher de leur compagnie aérienne pour obtenir de plus amples informations et à ne pas se rendre sur l’aéroport sans avoir l'assurance que leur vol est maintenu.
Il est peu habituel que la DGAC demande spécifiquement aux compagnies de réduire leurs vols «vers le Sud». La raison en est toute simple : la portion Sud-Est de l'espace aérien français est davantage concernée car l'Unsa-ICNA est majoritaire au centre de contrôle d'Aix-en-Provence. Après la décision du syndicat SNCTA de lever son préavis, la grève est donc essentiellement suivie dans cette région.
Les aéroports de Lyon, Toulouse et Montpellier sont particulièrement touchés. La compagnie régionale Hop!, qui réalise plus de 50% de son activité à Lyon, signale par exemple y avoir enregistré des retards de deux heures en moyenne. Les retards moyens étaient de l’ordre de 50 minutes à Paris-Orly, 60 minutes à Nantes et la situation s'est dégradée ce mardi soir à Marseille. La compagnie, qui effectue plus de 500 vols par jour, essentiellement sur le territoire français, a dû annuler 110 vols mardi et une situation identique est attendue pour la journée du mercredi 25 juin.
Le mouvement touche également les compagnies européennes volant depuis ou vers la France ou survolant simplement le pays.
- 20 % sur les aéroports de Lyon, Marseille, Toulouse et Bordeaux ;
- 20 % des vols vers le sud de la France, l’Espagne, le Portugal, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie au départ de la région parisienne.
La DGAC précise ainsi que «des perturbations sont possibles sur l’ensemble du territoire». Elle invite également les passagers à se rapprocher de leur compagnie aérienne pour obtenir de plus amples informations et à ne pas se rendre sur l’aéroport sans avoir l'assurance que leur vol est maintenu.
Il est peu habituel que la DGAC demande spécifiquement aux compagnies de réduire leurs vols «vers le Sud». La raison en est toute simple : la portion Sud-Est de l'espace aérien français est davantage concernée car l'Unsa-ICNA est majoritaire au centre de contrôle d'Aix-en-Provence. Après la décision du syndicat SNCTA de lever son préavis, la grève est donc essentiellement suivie dans cette région.
Les aéroports de Lyon, Toulouse et Montpellier sont particulièrement touchés. La compagnie régionale Hop!, qui réalise plus de 50% de son activité à Lyon, signale par exemple y avoir enregistré des retards de deux heures en moyenne. Les retards moyens étaient de l’ordre de 50 minutes à Paris-Orly, 60 minutes à Nantes et la situation s'est dégradée ce mardi soir à Marseille. La compagnie, qui effectue plus de 500 vols par jour, essentiellement sur le territoire français, a dû annuler 110 vols mardi et une situation identique est attendue pour la journée du mercredi 25 juin.
Le mouvement touche également les compagnies européennes volant depuis ou vers la France ou survolant simplement le pays.
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