Si l’on en croit des chiffres officieux, il y aurait dans New York plus de 8 millions de rats… Autant que d’habitants. Mais le phénomène est loin d’être nouveau. Déjà dans des lettres écrites au début du 20ème siècle, on pouvait lire « que les rats étaient devenus communs dans les rues et les appartements. Ils appartenaient à la ville ». Depuis deux ans, la bataille contre ces rongeurs semble perdue. Y compris dans les hôtels.
Dans un sujet publié par l’AFP on apprend que « Les plaintes au sujet des rats à New York ont augmenté l’an dernier de près de 10% ». Mais ils ne se limitent plus aux seuls quartiers pauvres de la ville. Désormais, ils sont partout, y compris dans les hôtels. Quelques parkings de célèbres établissements new yorkais connaitraient des invasions régulières, immédiatement traitées.
Mais dans les autres hôtels, plus modestes, plus populaires ou plus touristiques, il n’en va pas de même et les appels à la réception pour signaler la présence (temporaire) d’un rat se soldent très souvent par un plateau de fromages ou de fruits offert par une réception soucieuse de faire oublier l’incident. Au-delà, les dernières invasions sont plus sournoises. Le retour des puces de lit est une évidence dans cette ville qui connaît des taux d’occupation hôtelière supérieurs à 79 % en moyenne !
Et malgré les traitements, les bestioles se sentent bien à NY ! Pour preuve, une hausse de 17 % des traitements chimiques assurés par des entreprises spécialisées. Mais traiter ne suffit pas, encore faut-il les empêcher d’entrer. Là est le souci.
Mais dans les autres hôtels, plus modestes, plus populaires ou plus touristiques, il n’en va pas de même et les appels à la réception pour signaler la présence (temporaire) d’un rat se soldent très souvent par un plateau de fromages ou de fruits offert par une réception soucieuse de faire oublier l’incident. Au-delà, les dernières invasions sont plus sournoises. Le retour des puces de lit est une évidence dans cette ville qui connaît des taux d’occupation hôtelière supérieurs à 79 % en moyenne !
Et malgré les traitements, les bestioles se sentent bien à NY ! Pour preuve, une hausse de 17 % des traitements chimiques assurés par des entreprises spécialisées. Mais traiter ne suffit pas, encore faut-il les empêcher d’entrer. Là est le souci.
