En déclarant sur un plateau de télévision que « l’Iphone semblait être l’outil technologique d’entreprise le mieux adapté au monde des affaires », Michael Dell, le patron de la compagnie informatique éponyme, a donné le ton de ce qui apparaît aux Etats-Unis comme le sujet du moment. Faut–il équiper ses commerciaux de l’Iphone ? Les […]
En déclarant sur un plateau de télévision que « l’Iphone semblait être l’outil technologique d’entreprise le mieux adapté au monde des affaires », Michael Dell, le patron de la compagnie informatique éponyme, a donné le ton de ce qui apparaît aux Etats-Unis comme le sujet du moment. Faut–il équiper ses commerciaux de l’Iphone ? Les premières réponses sont largement favorables au téléphone d’Apple. Wifi, doté d’un client mail évolué, adaptable aux bases de données mobiles et équipé d’un navigateur web. Voilà pour les qualités. « Oui mais » poursuit Richard Gerty de CNN, spécialiste incontesté des nouvelles technologies « pour l’homme d’affaires, l’Iphone ne sera jamais qu’un gadget. Pas de copier-coller, impossibilité d’éliminer des mails d’un seul clic, absence de 3G et surtout des mises à jour majeures déjà annoncées qui freinent les ardeurs des responsables informatiques et téléphoniques ». De fait, si l’Iphone se débloque aujourd’hui très facilement (www.iphon.fr), ce sont les modèles à venir qui devraient être plus aptes à aider les voyageurs professionnels. L’arrivée du GPS, annoncé pour juin prochain, de la 3G (sans date) de bases de données spécifiques (septembre 2008) et l’intégration d’un module de gestion de contacts plus évolué que celui actuellement fourni sont les premières pistes dévoilées aux Etats-Unis. Quant à la France, l’offre d’Orange, jugée bien trop chère par les spécialistes ne devrait convaincre qu’à titre individuel. Les entreprises ne sont pas pressées… La génération Blackberry a de beaux jours devant elle.
