Entre le bruit du roulement et la dégradation des pavés historiques, les roulettes en plastique des bagages cabines des voyageurs d'affaires sont la bête noire de la municipalité et des habitants de Venise. Au point qu'il avait été annoncé que ce type de bagages serait interdit dans le centre historique de la Cité des Doges et dans les îles. Mais cette information a été démentie par le "commissaire extraordinaire" de Venise, qui fait fonction de maire.
Les voyageurs d'affaires peuvent respirer, ils ne seront pas obligés de porter leur valise lors de leurs déplacements dans les rues du centre historique de Venise. Vittorio Zappalorto est intervenu: «Je souhaite démentir avec fermeté que la municipalité de Venise ait jamais pensé à interdire les trolleys dans le centre historique». Il a fait cette déclaration après la publication d'un document de la ville qui annonçait que «le transport de matériaux, choses ou personnes» ne pouvait plus être fait avec des objets disposant de roues en plastique. Selon le document, seuls les équipements dotés de roues en caoutchouc, ou gonflées avec de l'air peuvent circuler, sous peine sinon de recevoir une amende allant de 100 à 500 euros. Mais ce texte concerne seulement les chariots de marchandises, et non les valises à roulettes comme cela été interprété.
Le "commissaire extraordinaire" de Venise, qui fait fonction de maire, précise que «En ce qui concerne les trolleys, il est sûr que les roues dures contribuent à endommager les pavés des ruelles et surtout des ponts, justement en raison des coups provoqués par les montées et descentes. Mais cela ne veut pas dire que la municipalité en interdira l'usage». Il espère néanmoins que cette méprise poussera les entreprises à chercher «une solution adaptée aux problèmes de Venise comme des autres vieilles villes» parcourues par les touristes et leurs valises à roulettes.
Le "commissaire extraordinaire" de Venise, qui fait fonction de maire, précise que «En ce qui concerne les trolleys, il est sûr que les roues dures contribuent à endommager les pavés des ruelles et surtout des ponts, justement en raison des coups provoqués par les montées et descentes. Mais cela ne veut pas dire que la municipalité en interdira l'usage». Il espère néanmoins que cette méprise poussera les entreprises à chercher «une solution adaptée aux problèmes de Venise comme des autres vieilles villes» parcourues par les touristes et leurs valises à roulettes.
