En affirmant que "Le gouvernement tiendra", Bruno Le Maire s’appuie sur des études confidentielles qui démontreraient que les utilisateurs du train, contrairement au mouvement de 1995, ne seraient pas prêts à soutenir les cheminots.
Dans un communiqué, la FNAUT lui donne indirectement raison en constatant que les grèves à répétition pénalisent les voyageurs et desservent les intérêts du rail. Si la Fédération Nationale des Associations d’Usagers des Transports respecte le droit de grève, elle affirme que "le calendrier des grèves retenu par les syndicats de cheminots ait manifestement été calculé pour pénaliser au maximum les voyageurs. Elle estime aussi que le corporatisme et le conservatisme des syndicats ne peuvent que menacer l’avenir du rail".
Dans son communiqué, la FNAUT regrette que "les usagers les plus modestes, que les syndicats de cheminots prétendent défendre en priorité, seront les plus pénalisés… ils sont captifs du train. Où est le respect du service public ?".
La FNAUT "attend du gouvernement et des syndicats qu’ils engagent de véritables négociations afin de limiter la durée des grèves et la gêne insupportable qu’elles entraînent pour les voyageurs".
Dans son communiqué, la FNAUT regrette que "les usagers les plus modestes, que les syndicats de cheminots prétendent défendre en priorité, seront les plus pénalisés… ils sont captifs du train. Où est le respect du service public ?".
La FNAUT "attend du gouvernement et des syndicats qu’ils engagent de véritables négociations afin de limiter la durée des grèves et la gêne insupportable qu’elles entraînent pour les voyageurs".