La France est l’un des rares pays au monde ou un problème se résout par une taxe. C’est en substance ce que dit le GNI , la seule organisation professionnelle indépendante du secteur à fédérer les hôtels, cafés, bars, restaurants, traiteurs, organisateurs de réception et établissements de nuit. Face à lui, le STIF, le Syndicat des Transports d'Ile-de-France (Stif) qui a réclamé au gouvernement la mise en place d'une nouvelle taxe de deux euros sur chaque nuit passée dans un hôtel de la région parisienne.
L'objectif annoncé de cette mesure est le financement des transports franciliens. Ce sont 140 millions d’euros qui sont attendus avec cette nouvelle taxe qui devrait être rapidement votée.
Le GNI et ses 3 co-présidents (Didier CHENET du SYNHORCAT, Claude DAUMAS de la FAGIHT et Gérard GUY de la CPIH) s’opposent à cette idée jugée catastrophique et dont l’application va selon eux fragiliser tout un pan de l’économie francilienne. Le GNI rappelle que les hôteliers apportent déjà une contribution majeure à l’équilibre des comptes publics (doublement de la TVA ces deux dernières années, multiplication de nouvelles taxes…) et que le produit de la taxe de séjour en Ile-de-France représente pour les hôteliers une charge de 57 millions d’euros par an (source DGFIP / DGCL).
Le GNI et ses 3 co-présidents (Didier CHENET du SYNHORCAT, Claude DAUMAS de la FAGIHT et Gérard GUY de la CPIH) s’opposent à cette idée jugée catastrophique et dont l’application va selon eux fragiliser tout un pan de l’économie francilienne. Le GNI rappelle que les hôteliers apportent déjà une contribution majeure à l’équilibre des comptes publics (doublement de la TVA ces deux dernières années, multiplication de nouvelles taxes…) et que le produit de la taxe de séjour en Ile-de-France représente pour les hôteliers une charge de 57 millions d’euros par an (source DGFIP / DGCL).