Si août 2015 avait été un mois record pour le secteur aérien avec près de 16 millions de passagers, août 2016 présente des signes de faiblesse. Selon la DGAC, le trafic a chuté de 0,5%, marqué par un reflux d'activité à l'international (-0,8%).
Le ciel domestique français a maintenu une trajectoire plutôt favorable (+0,8%) malgré un repli des lignes desservant la capitale (-2,1%). Le marché national continue de profiter de la bonne santé des liaisons transversales (+3,1%) et plus particulièrement du dynamisme des routes touchant l'Outre-Mer (+4,6%). Par exemple, les vols Bordeaux-Lyon et Fort-de-France-Pointe-à-Pitre affichent respectivement des hausses de 13,3% et 17,5%.
Après le rebond de juillet, le trafic international redevient atone (-0,8%). Il s'agit de son résultat le moins bon résultat de l'année. L'Union Européenne reste la seule zone avec laquelle le trafic continue de croître (+2,4%), notamment grâce à la destination britannique (+6,5%). En revanche, l'activité sur l'Espagne enregistre un recul de 0,4%, signant ainsi la fin d'une série ininterrompue de croissance mensuelle entamée en décembre 2013.
TendanCiel ajoute «Ailleurs, seule l'Amérique parvient avec peine à maintenir son niveau de trafic (-0,6%) malgré une chute assez nette observée sur le marché états-unien (-4,2%). La zone Asie-Pacifique demeure la plus fortement touchée par la désaffection des voyageurs (-9,3%) avec ce mois-ci une tendance négative qui gagne aussi le Moyen-Orient (-5,9%)».
Aéroports : des résultats toujours aussi divergents
Côté aéroports, la fréquentation continue d'évoluer de manière très différenciée sur les dix principales plates-formes. À Paris (-1,5%), le maintien à niveau d'Orly (+0,3%) est insuffisant pour combler le repli de CDG (-2,3%) en recul pour le quatrième mois consécutif. En région, Lyon (+7,6%) et Bordeaux (+7,3%) affichent de belles performances. Beauvais (-10,2%) présente pour le quatrième mois d'affilée, une décroissance de plus de 10%.
Plus de retard en août
Les indicateurs relatifs au retard se sont dégradés en août : le taux de vols retardés de plus d'un quart d'heure au départ a atteint 30,4%, soit une augmentation de 2,4 points. Le retard moyen s'est établi à 16,9 minutes. Cela représente une hausse de 0,8 minute. TendanCiel précise «Malgré tout, les valeurs atteintes ce mois-ci situent ces indicateurs dans une perspective de redressement très sensible par rapport aux mois de juin et juillet».
Après le rebond de juillet, le trafic international redevient atone (-0,8%). Il s'agit de son résultat le moins bon résultat de l'année. L'Union Européenne reste la seule zone avec laquelle le trafic continue de croître (+2,4%), notamment grâce à la destination britannique (+6,5%). En revanche, l'activité sur l'Espagne enregistre un recul de 0,4%, signant ainsi la fin d'une série ininterrompue de croissance mensuelle entamée en décembre 2013.
TendanCiel ajoute «Ailleurs, seule l'Amérique parvient avec peine à maintenir son niveau de trafic (-0,6%) malgré une chute assez nette observée sur le marché états-unien (-4,2%). La zone Asie-Pacifique demeure la plus fortement touchée par la désaffection des voyageurs (-9,3%) avec ce mois-ci une tendance négative qui gagne aussi le Moyen-Orient (-5,9%)».
Aéroports : des résultats toujours aussi divergents
Côté aéroports, la fréquentation continue d'évoluer de manière très différenciée sur les dix principales plates-formes. À Paris (-1,5%), le maintien à niveau d'Orly (+0,3%) est insuffisant pour combler le repli de CDG (-2,3%) en recul pour le quatrième mois consécutif. En région, Lyon (+7,6%) et Bordeaux (+7,3%) affichent de belles performances. Beauvais (-10,2%) présente pour le quatrième mois d'affilée, une décroissance de plus de 10%.
Plus de retard en août
Les indicateurs relatifs au retard se sont dégradés en août : le taux de vols retardés de plus d'un quart d'heure au départ a atteint 30,4%, soit une augmentation de 2,4 points. Le retard moyen s'est établi à 16,9 minutes. Cela représente une hausse de 0,8 minute. TendanCiel précise «Malgré tout, les valeurs atteintes ce mois-ci situent ces indicateurs dans une perspective de redressement très sensible par rapport aux mois de juin et juillet».