Dans une série de communiqués, Air Austral essaye de déminer le conflit en rejetant les conséquences de la grève sur l’UNSA, le syndicat à l’origine du mouvement social qui débute ce 2 janvier. La nouvelle réunion de négociation, qui s’est tenue ce vendredi 30 décembre n’a pas permis de régler les différences
Pour la compagnie, le cout annoncé de la grève dépasse déjà̀ le demi-million d’euros par jour. Air Austral a d’ores et déjà̀ pris toutes les dispositions nécessaires pour assurer le transport de ses clients et a déjà̀ confirmé des d’affrètements sur des compagnies européennes afin de garantir tous ses vols longs courriers.
Dans son dernier communiqué, la direction « s’interroge sur les véritables motivations de ce mouvemente et s’appuie sur l’approche des élections professionnelles de 2017 pour condamner les grévistes ».
Air Austral condamne, « les demandes excessives de l’UNSA » et donne comme exemple le manque de personnel dénoncé́ par le syndicat qui est jugé « infondé car l’UNSA demande une composition d’équipage de 10 PNC sur Boeing 787, alors que la réglementation française et européenne qui définit le minimum requis conformément aux normes de sécurité́, en impose 6 sur ce type d’avion, que la plupart des compagnies exploitant cet appareil en utilisent 8 et qu’Air Austral en programme 9 sur chaque vol, se positionnant ainsi déjà̀ bien au-dessus des ratios légaux et commerciaux ».
L’UNSA de son côté réfute les affirmations de la Direction et devrait rapidement détailler le bien fondé de ses revendications. A ce jour, la situation est donc bloquée sans réelle issue pour une fin rapide du mouvement.
Dans son dernier communiqué, la direction « s’interroge sur les véritables motivations de ce mouvemente et s’appuie sur l’approche des élections professionnelles de 2017 pour condamner les grévistes ».
Air Austral condamne, « les demandes excessives de l’UNSA » et donne comme exemple le manque de personnel dénoncé́ par le syndicat qui est jugé « infondé car l’UNSA demande une composition d’équipage de 10 PNC sur Boeing 787, alors que la réglementation française et européenne qui définit le minimum requis conformément aux normes de sécurité́, en impose 6 sur ce type d’avion, que la plupart des compagnies exploitant cet appareil en utilisent 8 et qu’Air Austral en programme 9 sur chaque vol, se positionnant ainsi déjà̀ bien au-dessus des ratios légaux et commerciaux ».
L’UNSA de son côté réfute les affirmations de la Direction et devrait rapidement détailler le bien fondé de ses revendications. A ce jour, la situation est donc bloquée sans réelle issue pour une fin rapide du mouvement.
