Business Table maximise l’adoption de sa solution

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Business Table le leader de la réservation de restaurants, traiteurs événements pour les entreprises enrichie son offre d’une application mobile maximisant l’adoption de sa solution par les collaborateurs.

Plusieurs études montrent que la restauration représente quatre transactions sur dix qui portent cette commodité en première place du classement avec près d’un quart du volume portés sur les notes de frais. Or cette dépense est sous-estimée et même sous-pilotée par les gestionnaires car l’agrégation des données est chronophage et diluée dans un kyrielle de fournisseurs.

Conscient de ce fait, Business Table a lancé en 2012 sa solution de gestion centralisée des réservations. La porte était donc ouverte pour permettre aux entreprises de rationaliser la gestion des frais de bouche et des événements professionnels. La majorité des grands comptes à compris l’intérêt de la solution et l’a de fait adoptée.

Forte de son succès, la société vient de mettre à la disposition de ses clients une application mobile permettant aux collaborateurs de réserver des prestations dans plus de 15 000 restaurants, 1 500 traiteurs et 14 000 hôtels. Bien entendu, la solution propose une gestion 100% dématérialisée des dépenses. Il n’y a donc plus de freins pour maximiser l’adoption de la solution proposée par l’entreprise.

Mais peut-on réellement générer des gains sur ce type de frais ? La réponse est affirmative car la mise sous contrôle d’une dépense génère systématiquement une réduction des montants et un meilleur respect des politiques associées (les écarts étant plus facilement identifiés côté collaborateurs comme côté prestataires).

De plus, la gestion de ces frais engendre des coûts indirects importants (frais de traitement, création de comptes, analyse manuelle des notes de frais…) qui doivent également être pris en considération dans les stratégies économiques des entreprises (approche coût complet). Voici donc une bonne occasion de faire monter en maturité votre approche achat des déplacements professionnels en travaillant un marché rarement considéré et pourtant générateur potentiel d’économies qui peuvent atteindre, grâce à la réduction des coûts indirects, au minimum 20% des dépenses.