L'avion, un Airbus A340 de la compagnie Joon, filiale d'Air France, a du se poser en urgence mercredi 8 mai alors qu'il survolait le territoire iranien. En cause: un dysfonctionnement du système de ventilation.
L’A340 assurant le vol AF218 Paris-Bombay avait décollé mercredi matin de l’aéroport de Paris - Charles-de-Gaulle à 11 h 21 avec 267 passagers à bord.
Il a déclaré une urgence et émis un signal de détresse 7700 par transpondeur (procédure standard) alors qu’il se trouvait au-dessus de l’Iran au niveau 350 à 90 miles nautiques de la ville d'Ispahan. Il a entamé une descente rapide vers l’aéroport le plus proche et s’est finalement posé sans encombre au bout de 30 minutes à Ispahan à 17 h (heure française).
Air France a confirmé l’incident et expliqué que l’équipage a décidé "de se dérouter vers l’aéroport d’Ispahan (Iran) à la suite d’un dysfonctionnement du circuit de ventilation conformément aux procédures du constructeur et en application du principe de précaution."
L'avion est resté à Ispahan près de 7 heures puis a rejoint l'aéroport de Dubaï (limitation du temps de travail de l'équipage imposé par la réglementation).
Les médias Iraniens ont confirmé que l'équipage a déclaré un problème technique mais qu'il n'a pas donné de raison précise pour ce déroutement d'urgence. Cet incident a toutefois mis le réseau des "radar spotters" en émoi car l'avion n'a plus été affiché sur les sites de suivi (type flightradar) en raison du manque de couverture des récepteurs ADS-B lesquels permettent de capter les signaux du transpondeur des avions (NDLR : passé sous une certaine altitude, l'avion peut disparaître de l'affichage si il n'y a pas assez de récepteurs).
Tous les passagers ont, bien entendu, été pris en charge par la compagnie et sont sains et saufs. L'équipage a parfaitement réagi tout comme les autorités Iranienne qui ont appliqué à la lettre le code international d'assistance aux avions en situation d'urgence. Un bel exemple de coordination et de coopération malgré les tensions géopolitiques du moment entre l'Iran et les Etats-Unis.
Il a déclaré une urgence et émis un signal de détresse 7700 par transpondeur (procédure standard) alors qu’il se trouvait au-dessus de l’Iran au niveau 350 à 90 miles nautiques de la ville d'Ispahan. Il a entamé une descente rapide vers l’aéroport le plus proche et s’est finalement posé sans encombre au bout de 30 minutes à Ispahan à 17 h (heure française).
Air France a confirmé l’incident et expliqué que l’équipage a décidé "de se dérouter vers l’aéroport d’Ispahan (Iran) à la suite d’un dysfonctionnement du circuit de ventilation conformément aux procédures du constructeur et en application du principe de précaution."
L'avion est resté à Ispahan près de 7 heures puis a rejoint l'aéroport de Dubaï (limitation du temps de travail de l'équipage imposé par la réglementation).
Les médias Iraniens ont confirmé que l'équipage a déclaré un problème technique mais qu'il n'a pas donné de raison précise pour ce déroutement d'urgence. Cet incident a toutefois mis le réseau des "radar spotters" en émoi car l'avion n'a plus été affiché sur les sites de suivi (type flightradar) en raison du manque de couverture des récepteurs ADS-B lesquels permettent de capter les signaux du transpondeur des avions (NDLR : passé sous une certaine altitude, l'avion peut disparaître de l'affichage si il n'y a pas assez de récepteurs).
Tous les passagers ont, bien entendu, été pris en charge par la compagnie et sont sains et saufs. L'équipage a parfaitement réagi tout comme les autorités Iranienne qui ont appliqué à la lettre le code international d'assistance aux avions en situation d'urgence. Un bel exemple de coordination et de coopération malgré les tensions géopolitiques du moment entre l'Iran et les Etats-Unis.
