A lire également
-
Air France-KLM: bénéfice en hausse et nouveau "comité de gouvernance"
-
Air France : les pilotes signent l'accord salarial
-
Luton Airport : Wizz menacée par une semaine de grève début mars
-
Air France. début des élections professionnelles
-
Roissy: accrochage entre un Airbus d'Air Mauritius et un Boeing d'Air France
Alors que les clients d'Air France vont devoir affronter cette semaine un jour de grève le 23 et qu'un autre mouvement est prévu le 30 mars, le patron du groupe franco-néerlandais assure dans les pages du JDD que la direction a fait son maximum pour trouver une solution au conflit. "Nous avons fait des propositions réalistes pour éviter ce mouvement de grève et le dialogue doit se poursuivre pour trouver une issue", explique Jean-Marc Janaillac.
A deux jours de l'ouverture des Assises de l'aérien, il met en avant les difficultés structurelles du ciel français : "Je comprends le sentiment d'injustice des salariés qui ont fait des efforts alors même que ce qui pèse sur Air France, charges et taxes, n'a pas évolué. Mais je le regrette vis-à-vis de nos passagers et de nos salariés".
Il ajoute que la direction a proposé "une mesure d'augmentation générale, le doublement de l'intéressement et une compensation de perte de pouvoir d'achat pour les salariés concernés".
"Nous ne pouvons pas aller plus loin. Je ne veux pas sacrifier l'avenir d'Air France en mettant en péril nos atouts. Nous avons accumulé trop de retard par rapport à nos concurrents", assure-t-il.
A deux jours de l'ouverture des Assises de l'aérien, il met en avant les difficultés structurelles du ciel français : "Je comprends le sentiment d'injustice des salariés qui ont fait des efforts alors même que ce qui pèse sur Air France, charges et taxes, n'a pas évolué. Mais je le regrette vis-à-vis de nos passagers et de nos salariés".
Il ajoute que la direction a proposé "une mesure d'augmentation générale, le doublement de l'intéressement et une compensation de perte de pouvoir d'achat pour les salariés concernés".
"Nous ne pouvons pas aller plus loin. Je ne veux pas sacrifier l'avenir d'Air France en mettant en péril nos atouts. Nous avons accumulé trop de retard par rapport à nos concurrents", assure-t-il.