Les deux compagnies ont annoncé mardi à Tokyo leur collaboration sur onze vols transpacifiques, dès le mois d’avril prochain. Avec cette co-entreprise, Japan Airlines et Amercian Airlines espèrent ainsi mutualiser les coûts et augmenter leurs ventes, pour gagner en compétitivité sur une zone stratégique. La compagnie japonaise, qui connaît un plan de redressement, devrait ainsi réaliser de substantielles économies.
A compter du 1er avril prochain, la compagnie américaine et Japan Airlines (JAL) coopéreront sur 11 vols transpacifiques, dans le cadre d'une co-entreprise. L’accord "Open skies" signé l’an dernier entre les deux pays avait ouvert la voie à une libéralisation du marché de l’aviation civile, facilitant l’ouverture de nouveaux vols, et l’augmentation des fréquences. Le feu vert du département des transports US accordé en novembre ne laissait guère de doutes sur l'issue du dossier.
American Airlines et Japan Airlines – déjà associées au sein de l’alliance Oneworld – envisagent ainsi de mutualiser les coûts, les offres promotionnelles, et de proposer une offre plus large en termes de prix et de régularité des vols. Cette coopération concernera notamment les liaisons New-York-Tokyo et Pékin-Chicago, et devrait permettre l’ouverture de nouvelles routes.
“Cette collaboration nous permettra d’accroître notre compétitivité (…) et améliorera notre rentabilité” a noté Masaru Onishi, président d’une compagnie japonaise en pleine restructuration, qui cherche à réaliser des économies. Le programme d'assainissement des finances de l'entreprise sur trois ans a déjà entraîné la suppression de 14 500 emplois, et 1500 autres postes devraient disparaître d'ici... le 1er avril, date d'entrée en vigueur de l'accord.
American Airlines et Japan Airlines – déjà associées au sein de l’alliance Oneworld – envisagent ainsi de mutualiser les coûts, les offres promotionnelles, et de proposer une offre plus large en termes de prix et de régularité des vols. Cette coopération concernera notamment les liaisons New-York-Tokyo et Pékin-Chicago, et devrait permettre l’ouverture de nouvelles routes.
“Cette collaboration nous permettra d’accroître notre compétitivité (…) et améliorera notre rentabilité” a noté Masaru Onishi, président d’une compagnie japonaise en pleine restructuration, qui cherche à réaliser des économies. Le programme d'assainissement des finances de l'entreprise sur trois ans a déjà entraîné la suppression de 14 500 emplois, et 1500 autres postes devraient disparaître d'ici... le 1er avril, date d'entrée en vigueur de l'accord.
