Les assistants à la conduite séduisent les voyageurs d’affaires

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Fleetmatics, fournisseur de solutions SaaS axées sur la gestion de flotte de véhicules, a publié le second volet de son étude sur "Les Français et la Sécurité Routière au travail" réalisée en partenariat avec l’Ifop. Il révèle que plus de la moitié des Français estime que l'entreprise a un rôle à jouer dans la réduction des comportements routiers dangereux des employés. Les assistants à la conduite sont également plébiscités.

Près des deux-tiers des personnes interrogées (64%) par Fleetmatics et Ifop sont convaincus que l’entreprise a un rôle actif à jouer pour atténuer les comportements routiers dangereux. L’idée d’un bonus récompensant un style de conduite sans infraction est cité en premier par 32% des conducteurs, et plus particulièrement les moins de 35 ans (41%). Les formations adaptées à une conduite plus raisonnable et sécurisée n’obtiennent en revanche l’aval que de 17% des sondés.
 
En outre, plus du tiers des personnes interrogées (36%) estiment ne pas avoir besoin d’aide de la part de leur employeur pour conduire de manière plus sereine. Le fournisseur de solutions de gestion de flotte ajoute "Ce chiffre fait écho aux difficultés des conducteurs à constater la dangerosité de certains de leurs propres comportements sur la route que le premier volet de l’étude mettait en lumière".
 
Les assistants à la conduite ont convaincu
Mais d’après l’étude, l’action de l’entreprise n’est pas la seule réponse pour réduire les comportements dangereux des Français au volant. Les assistants à la conduite sont également perçus comme une solution intéressante par les sondés. En effet, la quasi-totalité des conducteurs répondent avoir une bonne opinion (91%) de ces outils, dont 36% une très bonne opinion.
 
Chez les personnes équipées, les assistants à la conduite sont une solution au problème très répandu du dépassement de vitesse (67%). Les sondés affirment également qu'ils améliorent la vigilance (61%) et la prise de conscience du danger (53%). Toutefois, un tiers des personnes interrogées n’en sont toujours pas équipées.