Les voyageurs d'affaires ne pourront plus réserver de courses avec Uber au Maroc à compter du 23 février 2018. Le VTC suspend ses activités dans le pays en raison du manque de réglementation.
Uber va suspendre ses activités au Maroc le 23 février prochain. Le VTC jette l'éponge après près de 3 ans d'activité sur le sol marocain à cause de "l’incertitude réglementaire actuelle" dans le pays.
L'entreprise américaine explique dans un communiqué publié le 19 février : "Une transformation réussie nécessite d’être un partenaire responsable pour les villes, les chauffeurs et les utilisateurs que nous servons. C’est pour cela que nous avons tout fait pour travailler avec les autorités et pouvoirs publics au Maroc afin de trouver une solution qui conviendrait à tous. Malheureusement, depuis notre lancement au Maroc il y a bientôt 3 ans, nous n’avons pas eu de clarté sur l’intégration des applications comme Uber au modèle de transport existant".
Elle ajoute : "L’incertitude réglementaire actuelle ne nous permet pas de fournir une expérience sûre et fiable, qui réponde aux exigences de nos clients, chauffeurs comme passagers. Ainsi, tant qu’il n’y aura pas de vraie réforme et un environnement favorable aux nouvelles solutions de mobilité, nous sommes contraints de suspendre nos opérations, dès cette semaine".
Uber qui compte 19 000 utilisateurs réguliers et 300 chauffeurs au Maroc, assure qu'il reviendra lorsque de nouvelles règles seront en place.
Ce départ intervient aussi après l'annonce d'une perte globale pour la plate-forme américaine de 4,5 milliards de dollars en 2017
L'entreprise américaine explique dans un communiqué publié le 19 février : "Une transformation réussie nécessite d’être un partenaire responsable pour les villes, les chauffeurs et les utilisateurs que nous servons. C’est pour cela que nous avons tout fait pour travailler avec les autorités et pouvoirs publics au Maroc afin de trouver une solution qui conviendrait à tous. Malheureusement, depuis notre lancement au Maroc il y a bientôt 3 ans, nous n’avons pas eu de clarté sur l’intégration des applications comme Uber au modèle de transport existant".
Elle ajoute : "L’incertitude réglementaire actuelle ne nous permet pas de fournir une expérience sûre et fiable, qui réponde aux exigences de nos clients, chauffeurs comme passagers. Ainsi, tant qu’il n’y aura pas de vraie réforme et un environnement favorable aux nouvelles solutions de mobilité, nous sommes contraints de suspendre nos opérations, dès cette semaine".
Uber qui compte 19 000 utilisateurs réguliers et 300 chauffeurs au Maroc, assure qu'il reviendra lorsque de nouvelles règles seront en place.
Ce départ intervient aussi après l'annonce d'une perte globale pour la plate-forme américaine de 4,5 milliards de dollars en 2017
