Un parti politique belge, le Mouvement Réformateur (MR), veut faire payer les compagnies aériennes pour leurs nuisances sonores. Il propose ainsi qu'une taxe soit mise en place sur les avions qui survolent Bruxelles.
Le MR veut mettre en place une politique de pollueur-payeur dans le ciel bruxellois. Vincent De Wolf, chef de groupe des réformateurs, a expliqué : "Les compagnies aériennes doivent supporter les coûts sociaux induits pas les nuisances environnementales qu’elles génèrent au départ de l'aéroport de Zaventem".
Selon son projet, les transporteurs qui s'envolent ou atterrissent sur la plate-forme, devrait payer une charge supplémentaire de 10€. Ce montant serait en plus modulé en fonction de l’intensité du bruit émis par l'appareil et de l'heure de la manœuvre. Il a indiqué à Lalibre.be : "l s’agit d’une mesure incitative visant à pousser les compagnies aériennes à faire le maximum pour minimiser les nuisances sonores et la pollution". Il a ajouté : "Cela existe dans des grandes capitales comme Paris et Tokyo, pourquoi pas chez nous?". Le parti a estimé que cette taxe pourrait rapporter entre 15 à 20 millions d'euros.
Autre projet qui pourrait être contraignant pour les compagnies aériennes et les voyageurs d'affaires s'il voit le jour : l'organisation politique demande également l'extension des horaires de nuit sur la plate-forme de Bruxelles à 22h à 7h (au lieu de 23h00 à 6h00).
Selon son projet, les transporteurs qui s'envolent ou atterrissent sur la plate-forme, devrait payer une charge supplémentaire de 10€. Ce montant serait en plus modulé en fonction de l’intensité du bruit émis par l'appareil et de l'heure de la manœuvre. Il a indiqué à Lalibre.be : "l s’agit d’une mesure incitative visant à pousser les compagnies aériennes à faire le maximum pour minimiser les nuisances sonores et la pollution". Il a ajouté : "Cela existe dans des grandes capitales comme Paris et Tokyo, pourquoi pas chez nous?". Le parti a estimé que cette taxe pourrait rapporter entre 15 à 20 millions d'euros.
Autre projet qui pourrait être contraignant pour les compagnies aériennes et les voyageurs d'affaires s'il voit le jour : l'organisation politique demande également l'extension des horaires de nuit sur la plate-forme de Bruxelles à 22h à 7h (au lieu de 23h00 à 6h00).
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