Selon des sources internes proche du groupe hôtelier, AccorHotels n'aurait pas abandonné l'idée de faire l'acquisition des parts détenues par l'État dans Air France. Le silence radio autour du dossier vise à ne pas pénaliser le processus, dans l'attente de la nomination d'un nouveau Président et le règlement du conflit social engagé autour des salaires au sein de la compagnie aérienne.
Le groupe hôtellier travaillerait depuis quelques semaines à plusieurs scénarii de développement et de partenariat avec la compagnie française. Aucune confirmation du service communication de l'entreprise que nous avons, vainement, tenté de joindre ce jeudi 20 juin.
Si Sébastien Bazin avait calmé le jeu en affirmant qu'il ne s'agissait que d'un projet, potentiellement intéressant pour le groupe, il semblerait qu'AccorHotels avance rapidement vers une proposition concrète qui serait discrètement formulée à Bruno Le Maire, le ministre de l'économie et des finances, d'ici à la fin de l'été.
Toujours selon nos informations, rien ne sera publié avant la nomination d'un nouveau patron à la tête de la compagnie. Rien de concret avant la mi juillet selon les syndicats du transporteur qui qualifient cette information "d'épiphénomène capitalistique qui ne réglera pas les difficultés des salariés".
Si Sébastien Bazin avait calmé le jeu en affirmant qu'il ne s'agissait que d'un projet, potentiellement intéressant pour le groupe, il semblerait qu'AccorHotels avance rapidement vers une proposition concrète qui serait discrètement formulée à Bruno Le Maire, le ministre de l'économie et des finances, d'ici à la fin de l'été.
Toujours selon nos informations, rien ne sera publié avant la nomination d'un nouveau patron à la tête de la compagnie. Rien de concret avant la mi juillet selon les syndicats du transporteur qui qualifient cette information "d'épiphénomène capitalistique qui ne réglera pas les difficultés des salariés".
