Victime des tensions entre la Belgique et la République démocratique du Congo, Brussels Airlines avait vu les autorités congolaises réduire ses fréquences de vols à Kinshasa en février 2018. Le climat diplomatique s'étant réchauffé entre les deux pays ces dernières semaines, la compagnie a eu le feu vert pour voler à nouveau quotidiennement vers la ville africaine.
Les autorités de l’aviation civile de la République démocratique du Congo ont redonné l'autorisation à Brussels Airlines de voler 7 fois par semaine au lieu de 4 entre Bruxelles et Kinshasa.
La porte-parole de la compagnie, Wencke Lemmes, a confirmé à l'agence Belga la ré-attribution des fréquences. Elle a assuré "Nous relancerons une liaison quotidienne le plus vite possible. Mais les autres avions long courrier sont déjà prévus pour opérer d’autres vols et des sièges y ont déjà été réservés". Les voyageurs d'affaires belges et frontaliers vont donc devoir encore patienter pour profiter des avantages d'une liaison quotidienne.
Le transporteur belge avait vu le nombre des fréquences autorisées vers Kinshasa passé de 7 à 4 vols par semaine en février 2018. La décision des autorités de l’aviation civile congolaise traduisait les tensions grandissantes avec la Belgique dont le gouvernement avait annoncé début 2018 "une révision fondamentale" de la coopération le pays africain jusqu'à "l'organisation d'élections crédibles" en RDC.
La porte-parole de la compagnie, Wencke Lemmes, a confirmé à l'agence Belga la ré-attribution des fréquences. Elle a assuré "Nous relancerons une liaison quotidienne le plus vite possible. Mais les autres avions long courrier sont déjà prévus pour opérer d’autres vols et des sièges y ont déjà été réservés". Les voyageurs d'affaires belges et frontaliers vont donc devoir encore patienter pour profiter des avantages d'une liaison quotidienne.
Le transporteur belge avait vu le nombre des fréquences autorisées vers Kinshasa passé de 7 à 4 vols par semaine en février 2018. La décision des autorités de l’aviation civile congolaise traduisait les tensions grandissantes avec la Belgique dont le gouvernement avait annoncé début 2018 "une révision fondamentale" de la coopération le pays africain jusqu'à "l'organisation d'élections crédibles" en RDC.
